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Les Disques

Chicago underground Duo "Hyperglyph" (International Anthem)
Pour leur premier album en onze ans, le Chicago Underground dévoile Hyperglyph. Composé de deux brillants musiciens multi-instrumentistes Rob Mazurek et Chad Taylor livrent un superbe album d’un jazz innovant qui rappelle parfois la collaboration entre Don Cherry et Wadada Leo Smith. L’ensemble paraît sur l’excellent label de l’Illinois International Anthem, un gage de qualité indiscutable. Dispo’ en vinyle (édition limitée).

Romane Santarelli "OK:KO" (Yotanka)
Trois ans après un premier album qui lui avait permis de se faire un nom, Romane Santarelli signe son retour avec un nouveau disque plus dansant et introspectif, paru sur l’excellent label nantais Yotanka.

Sport "In Waves" (Bigout Records)
Pour leur premier album en 9 ans, le combo indie punk lyonnais signe une petite pépite qui raviera tous les amateurs de punk emo. De belles mélodies et des chansons entêtantes qui font de In Waves un disque dont on est pas prêt de se lasser. On pense à American Football ou à Against Me ! periode As The Eternal Cowboy. Sport n’a clairement rien à envier à bons nombres de formations d’Amérique du Nord qui ont popularisé ce style musical fin 90/début 2000. Dispo’ en vinyle (vinyle coloré)

Mule Jenny "Take Enough Leeway" (Vicious Circle)
Débuté comme un projet solo de Etienne Gaillochet (We Insist!) mais vite rejoins, pour les besoins du live, par Max Roy et Théo Guéneau (Lysistrata), Mule Jenny est désormais un groupe à part entière. Ce nouvel album est impressionnant de maitrise, le trio livre un parfait mélange d’indie rock et de math-rock, fraichement signé chez Vicious Circle, qui semble toujours avoir le nez fin pour ce genre de formation. Dispo’ en vinyle, édition limitée.

Nation Of Language "Dance Called Memory" (Sub Pop)
Pour son premier album chez Sub Pop, le trio de Brooklyn Nation Of Language fait une nouvelle fois appel Nick Millhiser (moitié du duo Holy Ghost !) et emmène sa synth-pop vers de nouveaux sommets. Une petite merveille ! Dispo’ en vinyle (Edition limitée, Loser Edition)

Rafiq Bhatia "Environments" (Anti Records)
Connu (notamment) pour son travail au sein de Son Lux depuis une dizaine d’années (on se rappelle de l’excellente b.o. de l’Oscarisé Everything Everywhere All At Once), le compositeur/producteur américain Rafiq Bhatia livre ici son troisième album solo, un disque mêlant jazz contemporain souvent expérimental à un post-rock ambiant. Fascinant. Recommandé aux oreilles averties.

Patrick Watson "Uh Ho" (Secret City)
Que serions-nous sans notre voix ? C’est une question que s’est posé Patrick Watson, chanteur et compositeur Montréalais, lorsqu’il s’est réveillé un matin de l’hiver 2023 sans sa voix angélique. Il a donc réalisé ce nouvel album en invitant un certain nombre d’invités prestigieux. Un disque d’une superbe pop-folk plein de grâce. Le disque de l’automne ? Dispo’ en vinyle, édition limitée

Franz Ferdinand "You Could Have It So Much Better" (Domino)
Le cap du deuxième album est toujours difficile à passer. Un an après l’énorme succès de son premier album, les écossais de Franz Ferdinand étaient attendus au tournant. Pas forcément plus original, le groupe applique la même formule que son précédent album, avec l’expérience qu’ils ont acquis en sillonnant les scènes du monde entier. En résulte une pop énergique à tendance post & dance-punk rudement efficace. Une machine à tubes et des titres qui restent en tête. Un disque qui n’a pas pris une ride, vingt ans après sa sortie.

Foals "What Went Down" (Transgressive)
Dix ans après sa sortie, on se replonge dans What Went Down, le quatrième album de Foals. La bande d’Oxford offre avec ce disque un mix parfait entre l’indie pop plus exigeante (et ses multiples influences) de ses débuts et le rock catchy et entêtant qui l’a imposé comme l’un des groupes de rock anglais du moment. La production signée James Ford y est certainement pour beaucoup. Yannis Philippakis et les siens signent des titres tantôt heavy (le single éponyme), tantôt fragile (« London Thunder ») ou tubesque (« Mountain at my Gates »), et tout le monde y trouve son compte. Dispo’ en vinyle (édition limitée)

Courtney Barnett "Sometimes I Sit And Sit..." (Milk Records)
Si la compilation d’EP A Sea of Split Peas a fait connaître Courtney Barnett à la scène indé’ internationale, c’est réellement ce premier album qui a fait la renommée de la chanteuse/compositrice. Courtney Barnett, accompagnée d’un groupe de copains, livre un disque imparable, bourré de tubes. Les titres mêlent un indie rock à bases de guitares racées, mais avec toujours un côté très pop, accompagnées d’une section rythmiques qui vous feront secouer la tête (ou taper du pied, chacun son truc). L’Australienne parle et chante des textes sincères, parfois drôles ou touchants, comme si elle était face à son/sa meilleur(e) ami(e). Soyons honnête, il n’y a rien à jeter dans la disco’ de la songwriter de Melbourne, mais celui-là… Il est essentiel ! Dispo’ en vinyle

Madlib "Shades of Blue" (Blue Note)
Au début des années 2000, l’immense producteur de hip-hop Otis Jackson Jr. plus connu sous l’alias Madlib, se tourne vers le jazz. Le légendaire label Blue Note Records lui ouvre ses portes en lui donnant accès à l’intégralité de son catalogue pour qu’il produise une série de remixes, le rêve de toute une vie pour le mélomane qu’il est. Le résultat sera ce Shades of Blue, merveilleuse et passionante collection de titres mêlants habilement jazz et hip-hop. Un énorme classique, essentiel à toute discothèque ! Dispo’ en double vinyle